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Manger sain, acheter éthique, durable, tant de mots que l’on aimerait pouvoir employer mais qui coûtent cher au porte-monnaie. Mais ça … C’était avant !

Maintenant, il est tout à fait possible de consommer 100% bio et au maximum local, éthique
et durable, sans faire de crédit à la consommation 😅

Même si la qualité peut avoir un coût, il n’est plus forcément excessif. Il suffit juste de
connaître les alternatives permettant de consommer des produits de qualité sans se ruiner.

Dans cet article, on vous propose 8 conseils et astuces pour des courses légères et sans prise
de tête 😊

1. Acheter moins de viande

Un des gestes écologiques les plus significatifs est de réduire sa consommation de viande.
En plus d’être bon pour la planète, il permet aussi de réduire les dépenses, car on le sait la
viande coûte chère.

Bien sûr, on ne vous demande pas de manger uniquement des légumes. Mais il existe de
nombreux moyens de remplacer les protéines animales, notamment grâce aux protéines
végétales. D’ailleurs, elles ont les mêmes apports énergétiques, voir plus !

Vous pouvez retrouver ces protéines dans les groupes alimentaires :

– Les légumineuses : lentilles, soja, algues, pois chiches, pois cassés, graines de lin, de
chia ou de chanvre, haricots secs, blancs, …
– Les céréales : maïs, seigle, orge, quinoa, boulgour, riz, blé, …

Pour les amateurs de barbecue 🍖🍗 , maintenant que vous achetez moins de viande dans
votre quotidien… Vous pouvez consommer mieux, en vous offrant de belles pièces du
boucher ou de la volaille fermière plutôt que du bétail élevé en cage 😏

2. Acheter et cuisiner les produits bruts

Dans l’alimentation moderne, nous dépensons énormément d’argent dans des produits
transformés et des plats préparés, ce qui nous éloigne de l’aliment brut.
La solution est aussi simple que son nom, il faut : Cuisiner !
Si le temps vous fait défaut, vous pouvez cuisiner de grande quantité pour ensuite les
congeler. Pour les soirs de flemme, ces bons petits plats congelés peuvent s’avérer bien
utiles !
Aussi, certains aliments peuvent être dégustés « brut » et sans grande préparation. On
pense notamment à la salade composée. En plus qu’avec les applications de cuisine comme
marmiton ou les comptes culinaires sur les RS, il est possible de découvrir des recettes
simples et rapides.

Pour vous rendre compte des bénéfices, nous vous conseillons de regarder le prix au kilo.
Effet de surprise garanti.

3. Opter pour des fruits et légumes locaux et de saison

Les fruits et légumes locaux et de saison sont bien moins chers car ils demandent moins
d’infrastructures pour les faire pousser et donc moins d’énergie.
Ils sont notamment plus riches en vitamines, minéraux et meilleurs en goût… Ne passez pas
à coté de l’énergie qu’ils proposent !

Lisez notre article : Comment semer des graines de basilic bio ?

Et surtout plus d’excuses pour savoir quel fruit/légume est de saison. De nombreux sites affichent le calendrier de saisonnalité comme greenpeace.fr/calendrier/ ou fruits-legumes

Et sur les réseaux sociaux, utilisez le #legumesdesaison 😉

4. Privilégier le vrac

Le vrac est de plus en plus courant maintenant !
En plus de réduire les déchets liés aux emballages, il permet de réduire les prix des aliments.
Alors hop hop hop ! On sort ses bocaux, ses sacs en tissus et on fonce chez notre épicier en
vrac ! 

5. Préférer les circuits courts quand c’est possible

Les circuits dits « courts » sont plus écologiques car forcément qui dit circuit court dit moins
de transport !

Pour trouver « THE place to eat » nous vous proposons le réseau Bienvenue à la Ferme qui est un moteur de recherche permettant de trouver le producteur local le plus proche de chez soi !

6. S’informer sur les promotions et bon plans

Beaucoup de grandes surfaces et de magasins bio vendent les produits proches de la date de
péremption moins chers. Mais ils n’en restent pas moins aussi bons 😋 Et surtout, vous
participez à la réduction du gaspillage alimentaire.
Alors n’hésitez pas à ouvrir l’œil !

Des sites et applications existent pour traquer les bons plans. C’est notamment le cas de l’application Too good to go qui propose une liste de commerçants mettant en vente des produits proches de la date de péremption dans des « paniers » à prix coûtant.

7. Acheter artisanal

On le sait, parfois c’est tentant de commander sur des grands sites e-commerce qui proposent de vous livrer de n’importe quel produit en 2 jours voir le lendemain et, toujours moins cher.

CULO vous invite à acheter dans votre zone et surtout à découvrir les artisans de chez vous ! Il est vrai que cela peut coûter un peu plus cher mais au moins la qualité et le service après-vente sont au rendez-vous. Et surtout, vous récompensez le savoir-faire ET le savoir-être.

D’ailleurs connaissez-vous nos créations en bouteille de vin recyclée Culo ?

8. Acheter en gros ou à plusieurs

Acheter en gros c’est bien mais à plusieurs c’est mieux.

Pour les achats en ligne, qui n’a jamais abandonné son panier car les frais de livraison étaient trop élevés par rapport au montant de sa commande ?

Et pour bénéficier de la livraison gratuite, il est parfois difficile pour notre porte-monnaie de d’atteindre le minimum de commande à 200€…

Alors, n’attendez plus et demander à vos proches qui ont les mêmes pratiques que vous ! Mieux encore… convertissez ceux qui ne consomment pas encore comme vous ; c’est-à-dire mieux et moins cher !

On espère que nos astuces vous aideront à consommer mieux, moins cher et peut-être créer de nouvelles habitudes toujours plus culottées !

Sachez qu’ils existent d’autres alternatives à la surconsommation, alors n’hésitez pas à chercher celles qui vous correspondent le mieux. Et n’oubliez pas, l’écolo parfait n’existe pas.

Et vous, c’est quoi vos conseils pour consommer mieux sans se ruiner ?

Le tournesol, qui vient initialement du Mexique, est emprunté au mot italien girasole signifiant qui tourne avec le soleil. En effet, sa fleur accompagne la rotation du soleil, et, combinée à sa couleur ça en fait une fleur solaire !

Le tournesol, une plante qui pousse facilement, fera rayonner votre jardin, terrasse ou balcon.

QUAND SEMER LE TOURNESOL ?

Ces graines se sèment dans votre jardin à partir de mars/avril jusqu’à, après les gelées.

Sa période de floraison, 3 mois après le semis, est de septembre à octobre.

COMMENT EFFECTUER LE SEMIS DE TOURNESOL ?

Dans le jardin :

Dans une zone très ensoleillée avec une terre drainée et riche, munissez-vous d’un râteau pour affiner le sol. Plantez les graines de 1 à 3, de 5 à 15 cm d’écart et entre 5 à 10 cm de profondeur. Vous pouvez ajouter un peu de sable dans les trous avant de semer et recouvrir vos graines. Il peut être important de biner afin de limiter la propagation des mauvaises herbes.

En pot :

Il est tout à fait possible de planter les graines mais dans de grands pots ou bacs sur son balcon, terrasse ou cour intérieure. Pensez à mettre vos bacs ou pots contre un mur pour éviter qu’ils ne se plient ou mettez des tuteurs. Plantez le semis comme pour le jardin et n’oubliez pas le soleil !

ENTRETIEN DU SEMIS DE TOURNESOL

Très facile. Le tournesol ne se taille pas et nécessite une bonne exposition au soleil. Cette plante peut craindre la sécheresse, alors pensez à bien l’arroser surtout en été ! Il faut bien arroser les semis, puis privilégiez un arrosage abondant et ponctuel plutôt que peu et régulier.

Les engrais sont à éviter, si la terre a bien été enrichie lors de la plantation.

COMESTIBLE ?

Les pétales peuvent se déguster, en salade par exemple. Ils peuvent servir de décoration pour vos plats également.

Le basilic est une plante aromatique indispensable dans son potager ou pour accompagner sa cuisine. Parfumant parfaitement sa pizza maison, ses salades ou bien son pesto, il offre aussi de nombreux bienfaits : riche en antioxydants, source de vitamine K, renouvellement des cellules,…

Le basilic est une plante facile à semer, mais qui aime la chaleur !

QUAND SEMER LE BASILIC ?

Selon son lieu de plantation, en pot ou en terre, les graines de basilic ne se sèment pas à la même période.

En pot ou en godet : de Mars à avril, et en terre : à partir de Mai – pour une récolte de Juin à Octobre, de préférence le matin.

COMMENT EFFECTUER LE SEMIS DE BASILIC ?

Dans le jardin :

Si vous plantez vos graines dans votre jardin, privilégiez un emplacement ensoleillé et à l’abri du vent. Le basilic aime la chaleur !

Le sol doit être riche, drainé et frais (15°). Utilisez un terreau universel et plantez les graines espacées de 15 à 30 cm.

En pot ou en godet :

Un terreau spécial semis sera conseillé pour semer vos graines de basilic. A 0,5 cm de profondeur, semez 1 graine tous les 2 cm et mettez votre pot au plus près de la lumière du jour et de la chaleur. Pour germer, le basilic a besoin d’environ 20°.

Après le semis, vous n’avez qu’à attendre 4 à 7 jours pour la levée. Dès que la plante atteint 10 cm de hauteur, vous pouvez commencer votre récolte.

ENTRETIEN DU SEMIS DE BASILIC

Le basilic nécessite une exposition ensoleillée (idéalement 6 heures d’ensoleillement quotidien) et à l’abri du vent.

Le sol ne doit pas s’assécher entre 2 arrosages, il faut être vigilent sur ses besoins en eau. Arrosez régulièrement sans excès !

Une fois que le basilic est monté en fleurs, pensez à couper l’extrémité fleurie des tiges au bon endroit : là où deux paires de jeunes feuilles commencent à pousser. Cela permet de garder la saveur des feuilles et de stimuler l’apparition de nouvelles têtes. Il faut, au-dessus des jeunes feuilles, couper la tête.

COMESTIBLE ?

Comestible et délicieux ! Il est bien connu pour parfumer nos plats, grâce à ses feuilles ou en le transformant en sauce comme le pesto !

D’après notre cher ami Wiki « Le surcyclage ou upcycling consiste à récupérer des matériaux ou des produits dont on n’a plus l’usage afin de les transformer en matériaux ou produits de qualité ou d’utilité supérieure. On recycle donc “par le haut”.

En plus des bénéfices écologiques de la réutilisation, le surcyclage donne l’occasion de créer et recréer des objets uniques. »

Un peu d’histoire…

Le concept et le mot « Upcycling » a vu le jour dans les années 90, d’abord par Reiner Pilz. Cet homme allemand s’indignait de la gestion des déchets en Allemagne, qui étaient soit recyclés en des produits à faible valeur ajoutée ou simplement détruits. La question de la revalorisation ne se posait pas.

Mais c’est à partir de 2002, que le concept a commencé à se démocratiser et se faire connaître du grand public. Les auteurs William McDonough et Michael Braungart avec leur ouvrage Cradle to Cradle signifiant du berceau au berceau, ont ouvert le champ des possibles.

Il faut tout de même réaliser que cette pratique a toujours existé, sans qu’on lui ait donné un nom et sans que l’on s’en rende compte.

En effet avant que le modèle de (sur)consommation voit le jour, nos aïeuls réparaient quand les objets cassaient, recousaient quand les vêtements filaient, réutilisaient au lieu de jeter – comme : le marc de café pour les canalisations, le vert des poireaux pour vos soupes, les vieux vêtements en torchons, etc.

Les pays en voie de développement ont également le mérite d’avoir étendu le concept et d’être la source de nombreuses idées d’upcycling. Alors que pour nous, il s’agit d’une tendance (certes positive pour la planète) pour eux, il s’agit d’une nécessité, de survie.

Des enjeux pas qu’environnementaux !

Sans surprise, l’upcycling joue un rôle positif sur l’environnement. Ce n’est pas juste « faire du neuf avec du vieux » c’est réutiliser au lieu de jeter, c’est limiter la consommation d’énergie ou de ressources pour créer un nouveau produit. Et heureusement, surtout quand on constate que le jour du dépassement de la Terre augmente chaque année.

Responsable de désastres sanitaires, l’industrie de la mode s’est également tournée vers l’upcycling afin de réutiliser de vieux vêtements pour créer leur nouvelle collection. Bien que leurs actions restent toujours discutables, il faut se dire que c’est toujours ça de gagner…

L’aspect économique est également l’un des enjeux : fabriquer des objets soi-même à partir de matière première qui ne coûte rien voir très peu permet de faire des économies. Il suffit juste d’un peu de créativité ou de fouiner sur internet (qui regorge d’idées) et tout peut être upcyclé. Ca favorise la création d’objets uniques et renforce l’estime de soi 😉

L’upycling, une tendance oui ! Mais qui s’inscrit dans la durée

Concept fort de l’économie circulaire, l’upcycling continue son avancée et s’implante petit à petit dans les processus industriels. Encore discrète par rapport au recyclage, l’upcycling a tout pour devenir un élément clé de notre économie et favoriser la transition écologique.

Il ne cesse de démontrer ses nombreuses qualités :

L’upcycling à la maison ? C’est aussi possible

Cette démarche éthique et esthétique est à la portée de toutes et tous J Il suffit de regarder autour de soi pour voir si un objet peut être upcyclé ou de se poser la question avant de jeter quelque chose. Par exemple, des palettes en salon de jardin ou table basse, ses vieux bidons de lessive pour y mettre sa lessive maison et pleins d’autres idées DIY encore !

Culo et l’upcycling

Chez Culo, nous apportons à notre niveau notre grain de sel à ce mouvement qui n’est qu’à ses prémices ! (nous l’espérons, pour le bien de notre belle planète bleue)

Avec l’envie d’agir pour la planète et de réaliser des objets de manière artisanale, à la main, c’est tout naturellement que l’idée de créer un objet à partir d’un déchet s’est concrétisée.

Au-delà de proposer une gamme de produits upcyclés à partir de bouteilles en verre qui étaient destinées à la poubelle, nous avons aménagé notre atelier avec un maximum de mobilier de récup’

Nous nous permettons de vous rappeler que proposer des produits issus de l’upcycling signifie production de déchets. Chez Culo, nous n’achetons pas de bouteilles vierges et neuves, ce qui fait que le réapprovisionnement de certains modèles peut prendre un plus de temps… J

Culo fait écho à Surfrider Foundation Europe, que ce soit sur ses réseaux sociaux ou en proposant des verres gravés au nom de Surfrider Foundation Aude (Ils arrivent bientôt 😊)

Mais pourquoi ?

Soucieux et engagé dans la lutte écologique, c’était comme une évidence pour Culo de contacter l’association Surfrider Foundation Europe afin de leur proposer un partenariat. Au-delà de la soutenir dans ses actions de préservation des mers et des océans au travers de don, nous lui reversons 5% des bénéfices des ventes réalisés sur les verres « Surfrider Foundation – Aude ».

Et surtout qui se cache derrière cette association ?

Depuis 1990, Surfrider Foundation Europe est devenue une référence dans le combat pour la protection de l’océan et de ses usagers, forte de la passion et de l’engagement de sa communauté sur le terrain.

Dotée de réelles expertises concernant les déchets aquatiques, la qualité de l’eau et la santé des usagers et l’aménagement du littoral, l’ONG bénéficie également d’un appui terrain très solide :

Depuis 2012, Surfrider Foundation Europe est l‘une des rares ONG habilitée par l’Etat Français à participer prioritairement au débat public environnemental au niveau national.

Elle siège à ce titre au Conseil National de la transition écologique (CNTE) et prend part aux conférences environnementales. Elle est aussi membre du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), du Conseil National Mer et Littoraux (CNML), Conseil supérieur de la marine marchande, Conseil National des Déchets, comité consultatif des TAAF, membre du conseil d’administration de l’AFB et des 3 Comités maritimes de façade, pour faire entendre la nécessaire prise en considération d’une approche éco-systémique sur les questions marines.

Agréée au titre de l’éducation populaire depuis 2006, Surfrider Foundation Europe développe un programme ambitieux d’éducation, de formation et sensibilisation des publics aux intérêts écologiques. Enfin Surfrider est une ONG indépendante et un contre-pouvoir actif comme en témoigne ses actions contentieuses.

L’origine de SFE l’a conduite à développer son implantation territoriale en priorité sur le territoire français. Son siège social basé à Biarritz ainsi que ses 3 bureaux territoriaux (Marseille, Bordeaux et Paris) et les 23 antennes bénévoles en France lui permettent de mener des actions en profondeur sur l’hexagone. Comme l’antenne de l’Aude, pour qui Culo grave ses verres à leur effigie avec amour !

Nous vous conseillons de visiter leur site : https://www.surfrider.eu/ ou de suivre leurs actions sur leurs pages Instagram : @surfridereurope  @surfrideraude

Le coquelicot, d’abord écrit coquelico, est un dérivé de « coquerico » s’apparentant au coq. La méthaphore se justifie par le rouge éclatant de la fleur comme la couleur de la crête du coq.

Le coquelicot est une plante facile à semer, qui apportera une touche natruelle, sauvage et colorée à votre jardin ou décoration d’intérieure.

Quand semer le coquelicot ?

Les graines de coquelicot se sèment entre Mars et Avril (après les gelées) pour une floraison de Juin à Septembre.

Il peut également se planter en Septembre pour une floraison au printemps, en privilégiant une bonne exposition au soleil.

Comment effectuer le semis de coquelicot ?

Dans le jardin :

Dans une zone ensoleillée, bêchez et binez le sol puis semer. Vous pouvez ajouter du terreau de jardin pour que la terre ne soit pas trop lourde, et privilégier des sols secs. Plantez les graines de 5 à 15 cm d’écart, selon l’effet souhaité. Ou bien, semez-les à la volée pour un résultat naturel. Arrosez d’une pluie fine pour humidifier la terre.

En pot :

Il est tout à fait possible de planter les graines en pots ou dans des bacs sur son balcon. Il n’a pas besoin d’une grande épaisseur de terre. Plantez les graines par 3, de 5 à 15 cm d’écart, selon l’effet souhaité. Arrosez d’une pluie fine pour humidifier la terre.

Par contre, le coquelicot ne supporte pas le repiquage ! Donc choisissez bien son emplacement ou son pot J

Entretien du semis de coquelicot

Très facile. Le coquelicot ne se taille pas et nécessite une exposition au soleil. Cette plante ne craint pas la sécheresse.

Une fois levé, il est peu demandeur en eau, et peut justement souffrir d’une terre trop humide. Toutefois, l’arrosage doit être fait de manière régulière. Les engrais sont à éviter !

Comestible ?

Les pétales, au goût de noisette, peuvent se déguster, ainsi que les jeunes feuilles.

Le coquelicot est une espèce de pavot, comme le pavot à opium, ce qui fait qu’il contient des alcaloïdes aux propriétés apaisantes, sans risque pour la santé.

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